Nouvelles de Tanzanie


La présidente de SAHFA, Laetitia van Haren, s’est rendue en Tanzanie en juin avec le trésorier de SAHFA, Marcel Vos, où ils ont rencontré les responsables du département de la Conférence Episcopale Tanzanienne (TEC). Nous nous sommes également rendus au Ministère de la Santé en tant que TEC et SAHFA, prêts à collaborer pour introduire JamboMama! dans une situation contrôlée, l’hôpital Ste Marie de Kibara dans le district de Bunda district et l’hôpital de Biharamulo dans le district de Rulenge-Ngara. Le chef du département d’obstétrie et de gynécologie du Ministère de la Santé nous a référés à son homologue du département de l’éducation à la santé. Celui-ci était tout de suite convaincu de la pertinence de JamboMama!. ‘Nous étions euphoriques, pensant enfin être arrivés à bon port’, dit Laetitia.

Mais ne vendez jamais la peu de l’ours avant de l’avoir tué. En effet, si le concept de JamboMama! est toujours très bien accueilli, cela ne veut pas dire que nous pouvons nous lancer le jour suivant. ‘L’obtention des permis requis est un processus de longue durée, qui demande une patience infinie et une mobilisation diplomatique sur plusieurs fronts. Des femmes tanzaniennes aux origines modestes, rencontrées lors des missions, envoient parfois à SAHFA ou à moi-même des textos me suppliant de perséverer malgré le rejet ou l’opposition, puisqu’elles veulent absolument avoir accès à JamboMama! Cela m’aide à surmonter la déception de n’avoir pas pu ramener de cette mission un document de projet signé par les deux ou trois partis collaborants, avec un accord de coopération bi- ou tripartite.’

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.